Jeux vidéo : entre un avenir incertain et un retour aux sources
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Cassette, cartouche, CD, DVD, GD-Rom, Blu-Ray, DLC… Les formats se suivent et se ressemblent (pas du tout). Le domaine des jeux vidéo...
Read MoreLe géant de l'Internet a récemment envoyé un email aux utilisateurs détaillant le sort des informations qui on été remplies dans le service «Buzz»...
Read MoreL’avènement de ce nouveau gadget, pour certains, n’est qu’une phase passagère, une simple invention comme des centaines d’autres qui, malgré leur impact médiatique lors du moment de leur apparition, finiront par sombrer dans l’oubli comme des centaines d’autres avant lui, alors que pour d’autres, c’est une invention invitant à l’évasion et révolutionnant la façon dont laquelle nous effectuons de nombreuses tâches d’ordre numérique, tout comme Skype a changé notre façon de communiquer, selon Loic Le Meur, CEO de LeWeb.
Peu d’utilisateurs ont eu la chance de tester les Google Glass, mais ça ne les empêche pas de causer un émoi parmi ses testeurs.
Dispositifs révolutionnaires pour quelques uns, une perte totale de toute intimité pour d’autres… Les questions et les avis se multiplient et diffèrent, mais une idée a quand même gardé l’unanimité : que Google a fait une campagne marketing admirable là-dessus.
La plupart des utilisateurs ont payé la somme de 1.500 Dollars pour se procurer la révolutionnaire paire de lunettes, capables de réalité augmentée, connexion «Cloud» et reconnaissance faciale.
Pourtant, la mauvaise réputation de Google concernant les données privées des utilisateurs de plusieurs de leurs services laisse présager que l’utilisation de ces lunettes Next-Gen aura le même propos : épier et voler les données circulant sur les réseaux liés à l’utilisation de ce nouveau gadget, mettant en péril une fois de plus la confidentialité des utilisateurs.
«Ne pensez pas, même pour une simple seconde, que vous avez le contrôle de ces lunettes. Vous n'êtes qu’un pilote pour la collecte des données», déclare Nick Pickles à la BBC.
Pickles estime que la stratégie Google consiste à offrir des produits gratuits et de convaincre les utilisateurs qu’ils sont des clients privilégiés alors que les données de ces derniers sont le produit utilisé par Google pour atteindre ses chiffres d’affaires.
La fonction de reconnaissance faciale a été utilisée par certains développeurs pour fournir un outil conçu pour le domaine médical.
«MedRef for Glass» est une application qui identifie les patients, tout en affichant leur suivi médical en texte ou en flux audio. Cette application vise le corps médical des hôpitaux, étant donné la difficulté des docteurs et des infirmiers à l’heure de reconnaître le cas de chacun des patients qu’ils traitent.
L'application stocke les fiches médicales des patients, ainsi que leurs photos prises auparavant avec la caméra intégrée dans les lunettes.
En se basant sur cette idée, Thad Starnet du Georgia Institute of Technology estime que les Google Glass rapprocheraient davantage la technologie à nos vies.
"Un dispositif de ce type avec une interface bien conçue peut aider l'utilisateur à faire attention à la réalité au lieu d'avoir à s'en retirer pour vérifier des données sur son ordinateur ou son portable. En ayant une interface qui met moins de deux secondes à accéder à toute sorte d’information, nous pouvons réduire la marge de temps entre l'intention et l'action", déclare Starnet à la BBC.
Jolie O'Dell, journaliste travaillant pour la revue VentureBeat hésite toujours. Elle estime que le dispositif peut être bien utile, mais pas pour tous : «En tant que propriétaire des lunettes, je vois qu’elles peuvent être utiles pour les médecins, les ingénieurs mécaniques ou toute autre activité ayant cours sur le terrain. A part ça, je trouve que c’est un appareil pour geeks, visant à nous rendre moins conscients du monde qui nous entoure, et nous laissant plus que jamais déconnectés des vraies personnes que nous rencontrons quotidiennement».
Le codage QR est un système de stockage d’informations sous une matrice faite de points noirs et blancs ou de codes à barres bidimensionnels. Ils peuvent contenir de nombreux types d'informations telles que des URL, des SMS, du texte, un lien avec du matériel audiovisuel, une page web, une liste de contacts, un numéro de téléphone et même un emplacement sur une carte.
Il est possible de récupérer les informations chiffrées dans le code QR avec un dispositif mobile. Il suffit de télécharger une application de décodage QR et de pointer la caméra sur un panneau de codage QR. Une fois numérisées, les données apparaîtront automatiquement sur l’écran du dispositif utilisé, sans nul besoin de prendre une photo ni de bien cadrer l’objet QR.
Cette technologie n'est pas récente puisque la patente du codage à barres fut enregistrée en 1952, mais il a fallu attendre les années 80, où cette technologie connut un grand succès commercial, l’amenant a être appliquée sur quasiment tous les emballages des produits utilisés quotidiennement.
A l’avènement du codage QR, peu d’utilisateurs ont adhéré son système, considéré trop artificiel : Peu d'utilisateurs utilisent leurs Smartphones pour exécuter des analyses.
Lors de leur conception en 1994 par les japonais à Denso Wave, l’idée était de stocker davantage d'informations en comparaison avec le codage à barres traditionnel, mais cette tentative de connecter le monde physique avec le virtuel pour donner un sentiment d’avant-garde et avec une mise en œuvre pourtant réussie dans l'industrie, son utilisation demeure trop faible parmi les possesseurs de téléphones intelligents.
Les autorités publiques et les institutions touristiques ont adapté leurs prospectus ces dernières années afin qu’ils soient compatibles avec cette technologie pour promouvoir le tourisme de faire de même afin de réaliser, entre autres, des visites virtuelles. Certains cimetières de Barcelone ont lancé en 2012 un service qui permet aux pierres tombales traditionnelles de contenir des informations en codage QR sur le défunt à travers un dispositif mobile gratuit, ayant ainsi accès à sa biographie par texte et images.
Cette technologie semble puiser sa force des musées. En Espagne, plusieures œuvres possèdent actuellement des cadres de codage QR contenant toutes les informations nécessaires, afin de ne pas encombrer l’œuvre en elle-même avec du texte.
En effet, l’Espagne est le pays où les codes QR sont le plus lus dans le monde : 21% de la population accède à ce service, suivie par les Etats-Unis.
L’une des principales explications des experts pour justifier le manque d'utilisation de ce système : Les entreprises qui intègrent le codage QR dans leurs stratégies de promotion ne fournissent aucun renseignement.
Le conseil municipal de Barcelone vient de lancer une application pour Smartphones : un système qui fournit des informations sur les 43 marchés municipaux, téléchargeables via le code QR se trouvant dans tous les marchés et les magasins d’applications Apple et Android.
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